Cap sur le second semestre 2025

Cap sur le second semestre 2025

Cap sur le second semestre 2025

 

Découvrir le monde du vin ou les vins du monde ?

Les deux.

De la Napa Valley à la Vallée du Rhône, de Margaux à Sancerre, les vignerons que nous avons le privilège d’accueillir incarnent l’excellence de leur terroir.

Au second semestre, les dégustations s’annoncent exceptionnelles : chaque rencontre est une invitation à voyager

Parmi les vignerons et vigneronnes qui nous présenterons leur vins, nous aurons l’honneur de découvrir :

Un dîner tout Champagne avec Guillaume Deglise, Directeur Général Champagne Henriot, partenaire du Bacchus Business Club.
Laure Canu, Château Cantemerle, Grand Cru Classé en 1855
Eric Monneret, Château La Pointe
Catherine Corbeau-Mellot, Maison Joseph Mellot
Julien Ducos, Morlet Family Vineyards
Yann JESTIN, Château Vari
Jean Marie Bourgeois, Bourgeois Henri Domaine
Frédéric Chaudière, Château Pesquié
Théo Buravand, Château Romanin
Olivier Fayard, Château Sainte-Marguerite
Aurélie Bertin, CHÂTEAU SAINTE ROSELINE CRU CLASSÉ (Roseline Diffusion)
Christophe Gouache, Château Loudenne
Claire Villars Lurton, Château Ferrière
Cédric Pla, Castel Châteaux & Grands Crus
Juliette ALLAIN, Domaine Lombard

Merci pour votre confiance

Vous souhaitez découvrir ces vins et voyager avec nous ?
Informations & inscription auprès d’Hadrien Robert
hrobert@bacchusbusinessclub.com
07 88 39 45 13

 

Mémona Hintermann et Vianney de Tastes au Bacchus Business Club de Nice

Mémona Hintermann et Vianney de Tastes au Bacchus Business Club de Nice

Mémona Hintermann et Vianney de Tastes au Bacchus Business Club de Nice

« Je n’aurais jamais dû être ici, au Negresco »

Mémona Hintermann, grande reporter et figure du journalisme français, a fait vibrer l’auditoire du Bacchus Business Club de Nice.

Née dans une fratrie de 11 enfants à La Réunion, dans une extrême pauvreté, elle raconte un destin forgé par l’esprit et l’éducation.
Son ascenseur social, c’est l’école. Ce qui l’a portée, c’est la France.
De France 3 à l’international, de l’affaire Mesrine au mur de Berlin, des conflits en Yougoslavie à l’Afghanistan, elle a posé son regard sur le monde avec rigueur. Sans faux-semblant, elle a rappelé que « l’objectivité n’existe pas », mais que l’honnêteté se revendique.

Elle a fait frissonner l’assemblée de dirigeants venus l’écouter : particulièrement quand elle raconte sa rencontre avec Kadahfi qui s’est révélée être un drame. Pour connaitre son histoire hors-norme, nos membres ont pu se procurer son dernier livre : « Une journaliste ne devrait pas dire ça »

Son combat : donner la parole aux invisibles, aux dignes oubliés. Défendre des valeurs. Et résister aux dislocations internes qu’elle a vues ailleurs et dont elle pense la France vulnérable, si elle ne rebâtit pas son esprit collectif.

Autour de son témoignage puissant, deux autres voix sont venues enrichir le dialogue :

Vianney de Tastes, directeur du Chateau Soucherie, a raconté une aventure de reconversion et de passion. Nous avons pu découvrir l’histoire d’une famille bordelaise tombée amoureuse du schiste et du chenin en Anjou. Malgré les gels printaniers et les chaleurs estivales, il garde une solide confiance dans l’avenir du vin de Loire. Le Domaine de la Soucherie est un domaine viticole historique de 28 ha produisant des vins d’Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) d’Anjou, Savennières, Coteaux du Layon et Chaume : autant de vins aux profils variés qui expriment la richesse de ces terroirs différents.

Enfin, Vincent van Derton, Directeur Commercial de notre partenaire Les Bienheureux, a partagé une vision unique de l’entreprise : humaine, joyeuse et audacieuse, née d’une rencontre entre deux amis Jean Moueix et Alexandre Sirech. Leur Bellevoye, leader sur le marché du whisky français, s’est dévoilé ce soir-là dans sa finition Calvados. Un produit qui incarne cette ambition : faire rayonner le savoir-faire français. Les invités présents ont pu également découvrir Pura Vida, le tout premier rhum du Costa Rica.

C’est ainsi que se clôture le dernier événement du premier semestre 2025 pour le Bacchus Business Club. Très bel été à toutes et à tous. Retrouvons-nous à la rentrée avec cette même exigence de transmission et d’excellence.

Crédit photo : Laura VESMARE 

Bacchus Business Club Lyon traverse les siècles le temps d’une soirée

Bacchus Business Club Lyon traverse les siècles le temps d’une soirée

Hors-les-Murs pour le club de Lyon : Musée et sites archéologiques de Saint-Romain-en-Gal

Traverser les siècles le temps d’une soirée

C’est l’expérience qu’ont vécue nos membres au Musée et site gallo-romains de Saint-Romain-en-Gal – Vienne pour notre dernière rencontre lyonnaise de la saison.

Sur un site archéologique unique en France, nos invités ont plongé dans le quotidien d’une ville romaine antique. Le musée construit à partir des fouilles initiées en 1967 est aujourd’hui un acteur majeur de la préservation et de la transmission de l’héritage gallo-romain, racontant l’histoire d’un des quartiers résidentiels romains les plus étendus découverts en France.

Un lieu parfaitement choisi pour accueillir Eve GUIGAL, Responsable Marketing de la Maison E. Guigal, installée depuis 3 générations à Ampuis, au cœur des appellations Côte-Rôtie, Condrieu et Hermitage.

Pionnier et enraciné dans son terroir, le Domaine GUIGAL incarne une certaine idée du prestige à la française. Son engagement aux côtés du musée, notamment à travers le mécénat de nouvelles fouilles, illustre la cohérence de leur démarche entre excellence et ancrage local.

Fondée en 1946 par Étienne Guigal, la Maison s’est rapidement imposée comme une référence de la Vallée du Rhône. C’est elle qui a contribué à redonner tout leur prestige aux appellations Côte-Rôtie, Condrieu et Hermitage. Aujourd’hui, la famille Guigal cultive une exigence absolue sur l’ensemble de ses terroirs. Condrieu 2023, Hermitage 2021 et Côte-Rôtie 2017 : nos invités ont pu se délecter de ces grands vins, au rythme de l’histoire racontée par Eve Guigal.

Dans les verres toujours, un voyage entre tradition et modernité : des vins inspirés des méthodes antiques proposés par le musée puis la présentation de la future AOC Vins de Seyssuel par Florian Marcelin. Une dégustation entre passé et futur.

Patrimoine historique et patrimoine viticole : les grandes œuvres et les grands vins ont traversé le temps, portés par la passion de ceux qui les font vivre.

Merci à nos membres pour ce beau premier semestre passé ensemble, et merci à Bruno Alart, président du Bacchus Business Club de Lyon pour son implication. Rendez-vous en septembre pour la reprise des évènements !

Crédit photo : Violaine PAPOT-LIBERAL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

M6 et Château Saint-Maur au Bacchus Business Club de Paris

M6 et Château Saint-Maur au Bacchus Business Club de Paris

M6 et Château Saint-Maur au Bacchus Business Club de Paris

Diriger M6, c’est savoir innover pour réinventer le paysage médiatique français : nouveaux usages et nouvelles figures.

Bacchus Business Club de Paris clôturait son semestre en recevant deux figures de la transformation : David Larramendy, Président du directoire de M6 et Marc Monrose, artisan du renouveau du Château Saint-Maur Cru-Classé, au cœur du somptueux Hôtel Le Meurice.

David Larramendy a partagé les coulisses d’un groupe qui pèse 1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires, dont 1 milliard en publicité. Après avoir intégré Mistergooddeal.com, puis rejoint M6 en 2008, il prend la tête de la régie en 2014 et du groupe en 2024.
Au carrefour de la télévision, du digital, du cinéma et de la radio et avec un EBITDA de 240 millions d’euros, le groupe M6 s’attache à consolider sa position sur tous les fronts. Il mise sur des formats ambitieux comme “Nouveau Jour” : un feuilleton quotidien mobilisant 35 scénaristes et 200 professionnels. Côté radio, RTL amorce une véritable remontée, notamment grâce à l’arrivée d’Anne-Sophie Lapix dans la tranche stratégique du 18-20 et le très suivi retour de Cyril Hanouna.
Côté audiovisuel, le groupe sait se positionner comme un acteur majeur avec un tiers des billets vendus dans le cinéma français produits par M6, à l’image de grands succès comme Un petit truc en plus ou Le Comte de Montecristo.
Enfin, le sport reste un pilier de visibilité avec 9 millions de téléspectateurs pour la finale de la Ligue des Champions.

À ses côtés, Marc Monrose a offert une vision tout en finesse. Impliqué dans la fabrication d’accessoire vélos, il entame une renaissance personnelle et professionnelle à travers la vigne, poussé par son beau-père.
En 2011, il reprend le Château Saint-Maur en Provence, soutenu par le groupe Zannier. De 42 hectares à plus de 100 aujourd’hui, 500 000 bouteilles sont produites chaque année. Parmi elles, un grand vin rouge et une ambition assumée sur les blancs avec 25 hectares de rolle.
Il partage avec humilité ce qui fait le plus grand défi de son métier : non pas produire un grand vin, mais réussir à le vendre dans un marché ultra concurrentiel.

Ce dernier rendez-vous de la saison parisienne fut à l’image du club exigeant et riche en perspectives.

Merci à Thierry Blandinières et Isabelle Patrier, Président et Vice-Présidente du club de Paris pour leur implication et notre partenaire TOP MANAGEMENT FRANCE.

Bacchus Business Club de Marseille aux Roches Blanches

Bacchus Business Club de Marseille aux Roches Blanches

Le Bacchus Business Club de Marseille aux Roches Blanches

Rafael Nadal jouait en Babolat à 10 ans, sans savoir le nom de la marque.

Aujourd’hui, il en est l’icône mondiale.

Les membres marseillais ont été accueillis dans un cadre exceptionnel : l’Hôtel Les Roches Blanches Cassis. Une bâtisse des années 1920 face au Cap Canaille, ce massif souverain de 394 mètres qui se hisse parmi les falaises maritimes les plus hautes d’Europe.

Ce décor a servi d’écrin à une conversation croisée entre 2 héritiers de maisons centenaires : Eric Babolat, PDG de la marque éponyme et Jonathan Sack, vigneron du Clos Sainte Magdeleine.

À 28 ans, Éric Babolat reprend la tête de l’entreprise familiale après le décès brutal de son père. Il commence sur les courts, cordant lui-même les équipements des joueurs lors des tournois. “C’était comme une torche olympique tombée au sol. J’ai juste eu le réflexe de la ramasser.”
Fidèle à l’héritage de 5 générations d’une maison née de la fabrication de cordages en boyau naturel, il en structure sa croissance avec vision. En 25 ans Babolat devient leader mondial de l’équipement de tennis, avec 1,5 million de raquettes vendues chaque année dans 158 pays, un réseau de 20 000 clubs partenaires et magasins grâce à la force de 450 collaborateurs engagés.
Avant-gardiste, la marque s’impose aussi dans le padel et le badminton, développe la chaussure en collaboration avec Michelin et pousse la personnalisation jusqu’à l’adaptation millimétrée des raquettes pour les champions.
Résultat : de Carlos Moya à Rafael Nadal, les plus grands l’ont choisie.
Nadal, à 10 ans, maniait déjà une raquette Babolat sans en connaître le nom. 30 ans plus tard, l’Espagnol est devenu l’icône d’une marque qui n’a cessé de conjuguer tradition industrielle et performance sportive. Désormais, Carlos Alcaraz écrit avec ferveur sa propre histoire avec la marque.

Jonathan Sack incarne une autre forme de continuité : celle d’un artisan vigneron enraciné dans l’histoire locale. Face aux Roches Blanches, ses coteaux produisent un vin artisanal et précis. Il est la 4eme génération à diriger le Clos Sainte Magdeleine, domaine emblématique accroché aux falaises de Cassis. Aujourd’hui, le domaine produit 100 000 bouteilles par an, toutes vinifiées sur place. “Nous faisons un métier traditionnel et artisanal, qui aura encore plus de valeur dans le monde qui vient.” Et c’est ce modèle qui lui permet de rester maître de sa distribution répartie de moitié entre la France et l’international.

Deux parcours et une même vision dans l’avenir des entreprises familiales. Voici comment se clôture ce premier semestre marseillais, merci pour votre présence et merci également à JEAN YVES BAETEMAN, président du club de Marseille et Olivier Sumeire et Georges MAREGIANO, vice-présidents pour leur implication.

 

 

 

EMLyon & Thierry Bellicaud : Transmission d’excellence, entre dirigeants et terroir

EMLyon & Thierry Bellicaud : Transmission d’excellence, entre dirigeants et terroir

EMLyon & Thierry Bellicaud : Transmission d’excellence, entre dirigeants et terroir

« Former les dirigeants, c’est former des passeurs. Nous sommes une entreprise à mission. »

Hier, au Sofitel Lyon Bellecour, Isabelle Huault, Présidente du Directoire et Directrice Générale emlyon business school, était l’invitée d’honneur du Bacchus Business Club de Lyon.

Née à Lyon, diplômée de l’EM Lyon, docteure et professeure agrégée en sciences de gestion, cette sociologue de la gouvernance des entreprises a dirigé Université Paris Dauphine- PSL, devenant la première femme à ce poste, avant de revenir à Lyon pour prendre la tête d’une école alors en pleine transformation.

Elle y a engagé un repositionnement stratégique ambitieux avec la mise en place de “Résonnance 2028” pour renforcer l’excellence académique, la diversité des profils et l’ancrage territorial de l’école. Elle défend une vision ouverte de l’enseignement supérieur, où le modèle public et privé se nourrissent mutuellement.

Son intervention a mis en lumière les grands équilibres qui font aujourd’hui la force de l’EM Lyon :
Une double gouvernance entre CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne comme ancrage régional et Galileo Global Education comme partenaire stratégique garantissant ancrage local et capacité d’investissement pour une école avec 150 M€ de budget, 8 000 étudiants en formation initiale, 6 000 en formation continue et 200 enseignants chercheurs.

Un nouveau campus à Gerland, inauguré en novembre 2024 : plus qu’un projet immobilier, une ambition de 150 millions d’€ pour une école plus connectée à la cité, plus attractive à l’international, plus engagée socialement et écologiquement.

EM Lyon assume aujourd’hui sa mission avec clarté : former les dirigeants de demain à comprendre les enjeux de la complexité.


La soirée s’est poursuivie avec Thierry Bellicaud, PDG des Domaines Loron & Domaines Auvigue – Beaujolais & Mâconnais – MAISON JEAN LORON depuis 1711, pour un voyage œnologique.

De la Maison Jean Loron, fondée en 1711, à l’appellation Pouilly-Fuissé, récemment couronnée d’un statut de Premier Cru par l’INAO, en passant par le Beaujolais blanc, rareté produite en chardonnay avec moins de 5 % du vignoble local, chaque vin dégusté était le reflet d’un terroir maîtrisé.

À l’autre extrémité du Beaujolais, un premier cru singulier se dévoile comme un véritable puzzle, composé du cépage Gamay sur 19 hectares minutieusement cultivés. Ce vin, à la texture soyeuse et à l’élégance rare est seul cru du Beaujolais situé en Saône-et-Loire, une exception historique. Dès 1774, le Marquis de Tricaud, alors ministre des finances de Louis XVI, en acquérait déjà de précieux volumes attestant ainsi du prestige de ce terroir.

Un vin « n’a pas de grandeur sans grand raisin », rappelle-t-il.

Il n’y a pas non plus de grandeur sans transmission : et c’est bien ce que cette soirée a incarné.

Crédits photos : Violaine PAPOT-LIBERAL